Deadly Class

Deadly class est le nouveau comics de Rick Remender, connu plutôt pour ses scénarios orienté SF, ici il s'attaque aux années 80 avec une touche de décalage. En effet, ses personnages ont la particularité d'être des étudiants de l'école King Dominion: des arts létaux. Les premiers volumes sont publiés en 2014. Il existe actuellement 25 numéros, et 4 tomes chez Urban comics qui se compose de 6 numéros à l'intérieur; le dernier est sorti en France le 13 janvier 2014. On retrouve au dessin Wes Craig que l'on connait notamment pour ses travaux pour Marvel et Dc comics, sur les gardiens de la galaxie ou encore Batman. 

 

1987, San Francisco. Marcus Lopez, fils d'immigrés nicaraguayens et SDF depuis plusieurs années, peine à trouver un sens à sa vie. Un jour, sans comprendre pourquoi il se fait poursuivre par des prétendu policier, en fuite, il rencontra Saya et d'autre élève de l'académie Kings Dominion des Arts Létaux. Maître Lin, lui propose de rejoindre l'établissement. Il découvre alors l'existence d'une école où l'on enseigne aux héritiers des plus grands cartels et mafias, à ériger le meurtre au rang d'art. Marcus a désormais un but dans la vie, il va tuer celui qu'il considère responsable de la mort de ses parents : Ronald Reagan.

 

 Dès les premières pages de ce comics, vous entrez dans un univers sombre agrémenté de folie meurtrière, de drogues et de mal être adolescent, car oui on a beau être le rejeton du parrain de la mafia local, on fait tous notre petite crise d'ados.

 

Marcus oscille entre rêve de vengeance et celui d'être un ados normale. Entre le cours de démembrement, de poisons ou encore d'arts mystiques au fond Marcus ne souhaite qu'une chose de s'intégrer.



Je conseille fortement ce comics à l'univers noir qui à mon avis réserve encore pas mal de surprise. Cependant, attention il n'est pas à mettre dans les mains des plus sensibles. Pour ceux qui n’aime pas forcément la lecture , sachez qu’un projet de série télévisé est en cours de développement. Personnellement, j’ai hâte , il faudra juste survivre à l’attente.

Mischieft

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