1 ) Dead Set

On commence par une série courte en 4 épisodes proposer par la chaîne E4 en Angleterre

L'action se situe dans la maison de l'émission de télé-réalité Big Brother (une sorte d'équivalent à Secret Story). Alors que le monde entier tombe dans le chaos à cause d'une épidémie de zombie les habitants de la maison enfermé ne se rendent compte de rien jusqu'à ce qu'une horde détruise leur « tranquillité ». Critique de la société moderne et de ses télé-réalités à la sauce zombie de quoi plaire à un public sensible à l'ironie, et insensible à la chair en putréfaction.

2) American Horror Story

 La série du créateur de Glee est déjà bien roder, American Horror Story est une série en anthologie, construite en saisons indépendantes. Cependant, on retrouve la plupart des acteurs dans chaque saison. La série fait référence à des faits divers, des personnages historiques, des films, des légendes urbaines, des histoires paranormales et mystérieuses, mêlant la peur, le déséquilibre psychologique, le gore, le sexe, les tabous de la société et le politiquement correct.

3) From Dusk till Dawn 

Adaptions du film dont le scénario est signé Quentin Tarantino : une nuit en enfer nous emmène dans un univers qui devient complètement whathefuquesque . Deux frères criminels Seth et Richie Gecko sont recherchés par le FBI et les Texas Rangers, après un braquage sanglant. Alors qu'ils se dirigent vers le Mexique, les deux frères prennent en otage l'ancien pasteur Jacob Fuller et ses deux enfants, Kate et Scott, pour traverser la frontière à bord de la caravane familiale. Le petit groupe décide alors de s'arrêter un moment dans un club de strip-tease qui leur promet quelques petites surprise à la tombée de la nuit .

D'abord, un livre écrit par L. Frank Baum ensuite un film musical réalisé par Victor Fleming, et enfin une comédie musicale dont le livret est écrit par le célèbre Andrew Lloyd Weber (oui, le personnage de référence d'une Nounou d'enfer est bien réel, aaaah les année 90)

Vu qu'aujourd'hui c'est la rubrique musique nous nous intéresserons surtout à la musique du film et à l'autre comédie musical dérivée de l'histoire principale c'est-à-dire Wicked.

 Le Film The Wizard of OZ est sorti en 1939 en plein âge d'or du cinéma Hollywoodien. Il ne déroge pas à la règle des comédies musicales avec ses personnages édulcorés. Nous sommes en pleine censure du Code Hays cela explique ceci.

Ce sont deux jeunes compositeurs de Broadway qui écrivent les chansons qui rythmeront le Magicien d'Oz. Yip Harburg pour les paroles et Harold Arlen pour l'arrangement musical. Le parolier contribue en parallèle au scénario du film. Au final 10 chansons entières seront sélectionnées pour figurer dans le film contre 11 au départ avec quelques passages de couplet coupé au montage

 La plus célèbres d'entre toutes est sûrement Over the Rainbow interpréter par Judy Garland qui joue le rôle de Dorothy (elle est aussi connue pour le rôle de Mary Poppins quelques années plus tard.)

La chanson fut l'une des dernières écrites pour le film. C'est en se rendant au Grauman's Chinese Theatre avec sa femme que Harold Arlen compose la mélodie de cette chanson. E.Y. Harburg écrit ensuite un texte en rapport avec l'état d'esprit de Dorothy qui n'a qu'une chose de colorée dans sa vie, l'arc-en-ciel. C'est à partir de cette idée qu'il décide d'inclure cet arc-en-ciel dans la chanson et ainsi matérialiser le souhait de Dorothy d'avoir un peu plus de gaité dans sa vie.

Durant toute sa carrière, Judy Garland continuera à chanter cette chanson dans ses spectacles. Elle écrira dans une lettre adressée à Harold Arlen : « Over the Rainbow fait partie de ma vie. Cette chanson symbolise les rêves et les espoirs des gens et voilà pourquoi certains ont les larmes aux yeux en l'entendant. Je l'ai chantée des milliers de fois et c'est toujours la chanson la plus chère à mon cœur ». la mélodie fut reprise de nombreuse fois par des grands noms de la musique comme Ella Fitzgerald, Ray Charles, Eric Clapton, …, sans oublier la célèbre version aux ukulélé de IZ.

C'est en 2003 qu'une comédie musicale (cette fois-ci sur les planches) est crée mais celle-ci a pour sujet les sorcières d'Oz avant que Dorothy arrive de Kansas natale. Inspiré du livre de  Gregory Maguire, Wicked: The Life and Times of the Wicked Witch of the West, où il crée des antécédent aux personnages.

La Méchante Sorcière de l'Ouest, Elphaba, porte les stigmates de l'infamie de sa mère: une peau verte et des pouvoirs de sorcellerie. Rejetée par tous, y compris par son père gouverneur, elle supporte les humiliations avec courage en rêvant d'être purifiée par le Magicien d'Oz.

Elle partage sa chambre à l'université avec la belle et ambitieuse Glinda Upland . Leur amitié est cependant fragilisée par l'arrivée d'un prince charmant: Fiyero Tiggular.

Lors d'une visite dans la capitale du pays d'Oz, les deux filles découvrent que le Magicien n'est en réalité qu'un usurpateur sans aucun pouvoir magique. Le non-dit permet cependant au régime de demeurer en place. Alors que Glinda choisit de soutenir le régime, Elphaba et le Prince se révoltent et choisissent de faire éclater la vérité.

En deux actes la comédie musicale comporte 22 chansons, les plus populaires sont Defying Gravity chanter par Idina Menzel dans la première version de la pièce, et Popular chanter par Kristin Chenoweth. La première chanson vous dit peut-être quelque chose, elle a été popularisée en France grâce à la série Glee ( d'ailleurs les deux actrices de la comedie musicale initiale font une apparition dans le show)

Mesdames et Messieurs bien le bonjour !

Aujourd'hui place à l'article sur la bande dessinée et je vous présente un petit bijou des éditions soleil, Trolls de Troy !

Tout d'abord parlons rapidement de son grand-frère « Lanfeust de Troy ».

Lanfeust de Troy est une série de bandes dessinées écrite par Christophe Arleston et dessinée par Didier Tarquin.

L'histoire se déroule dans un univers d'héroïque fantaisie dans lequel nous découvrons Lanfeust, un apprenti forgeron vivant dans le monde magique de Troy qui décide de partir pour une quête initiatique après avoir découvert qu'il avait un pouvoir hors du commun.

Une histoire classique de la quête du héros, mais détournant avec énormément d'humour l'univers fantastique et le rapprochant de nos cultures. Le succès fut tel que la série se déclina en de nombreuses autres histoires et univers étendu, dont celui dont nous allons parler actuellement, Trolls de Troy, avec toujours Arleston aux commandes de l'histoire, mais accompagné de Jean-Louis Mourrier aux dessins cette fois.

Nous commençons donc notre histoire dans un village de Trolls, habitués à déguster n'importe quel viande qui passe près d'eux , mijoter de bons petits plats à base d'humains, boire des litres d'alcool et éviter l'eau par-dessus tout au risque d'être propre .

C'est dans ce village que nous faisons la connaissance de nos protagonistes, Teträm un père de famille au cœur intègre, braillard, couverts de poils et de mouches, Puitepée sa douce femme et mère biologique de leur beau petit Tyneth , et leur fille adoptive la « douce » Waha qui voue une grande admiration à son père, une troll fière et indépendante malgré qu'elle soit … une humaine.

Au fil de leurs aventures différents personnages vont se joindre à eux comme Pröfy le jeune troll fou amoureux de Waha, ainsi que Roken un jeune lâche, imbécile et méchant troll fou de jalousie de Waha; et surtout le vénérable d'Eckmül, cité des magiciens et grands maîtres, Rysta Fuquatou l'homme le plus puissant de Troy voulant asservir définitivement les trolls .

A partir de l'instant où vous ouvrez cette BD oubliez tout ce que vous connaissez de magiques dans les contes fantastiques, vous avez devant vous une histoire écrite et mise en scène dans le même esprit qu'un album d'Astérix, des références et parallèles à notre époque, des jeux de mots avec les noms, et j'en passe, mais à la différence que dans ce conte l'humour se veut beaucoup plus ardu , un peu noir, et prend beaucoup de second degrés avec un ton parodique, sans pour autant perdre du charme de son univers de prédilection.

Quant aux dessins ceux-ci sont remplit de détails, que ce soit le dessin de la moindre branche d'arbre ou les animaux qui se battent au coin de la case, les couleurs sont éclatantes et collent parfaitement à l'univers; et la magie est parfaitement retranscrite à travers les pages .

En conclusion, je conseille vivement cette BD aux amateurs d'humour et de fantaisie, vous pouvez lire sans hésiter !

Sur ce mes amis je vous salue je suis attendu par le Haut Conseil d'Elrond pour une quête de la plus haute importance sous un fond de musique celtique, LIBERTEEEEE … oups je me suis trompé de film je crois .

Aujourd'hui nous nous penchons sur un livre qui fut adapté en film qui a bercer l'enfance de nombreuses personnes l'Histoire sans Fin ou d'après son titre original : Die unendliche Geschichte.

Ecrit par Michael Ende, d'origine allemande, et publié en 1979, le roman appartient au genre fantastique  

Bastien est un petit garçon de 11 ans, pas très bien dans sa peau. Il se réfugie dans la lecture pour oublier la mort de sa mère et l'indifférence de son père. Un jour, en voulant s'échapper de garçons de sa classe qui s'amusent à se moquer de lui, il se cache dans un vieux magasin de livres d'occasions. Le lieu ne paye pas de mine et le propriétaire n'a rien de sympathique. Mais quelque chose va changer Bastien à tout jamais : le livre que le vendeur a dans les mains, « L'histoire sans fin ». Il le dérobe et se réfugie dans le grenier de son école pour le lire. Ce qu'il va découvrir dans les pages du livre est une histoire merveilleuse et emplie d'aventures. Celle du Pays Fantastique qui est en danger, menacé par le néant (fléau qu'est l'incapacité de l'être humain à rêver) qui le détruit petit à petit, et dont la Petite Impératrice est atteinte d'une maladie mortelle. Pour la sauver, on envoie un jeune garçon, Atréju qui cherchera le remède à sa maladie et finira par le trouver : la Petite Impératrice a besoin d'un nouveau nom et seul un enfant d'homme peut le lui donner… Et là, le plus incroyable se produit : Bastien, qui a suivi les périples d'Atréju tout du long, entre dans l'histoire. L'Histoire sans fin.

Ce livre traduit en 27 langues se doit d'être lu par tout grand lecteur et surtout par les lecteurs de romans fantastiques. Cette histoire, correspond à notre imagination. C'est une histoire, dont nous sommes les héros à travers les yeux de cette enfant nous pouvons nous imaginer parfaitement à sa place. On passe les 26 chapitres comme 26 étapes d'un voyage organisé avec escales imaginaires. Tantôt dans l'horreur, tantôt dans le rêve, notre imagination est mise à rude épreuve. Je conseille donc se livre  à tous c'est un incontournable de la littérature. Rassurez vous le livre a tout de même une fin écrite sur papier, par contre dans votre imagination vous pouvez la développer comme bien vous semble.

- Mischief

Bon si certain ont pris le temps de lire le titre alors ils savent de qui je vais parler maintenant et pour les autres je vais le dire, ce mois si le dys célèbre qui est mis à l'honneur n'est autre que le grand et talentueux  Wolfgang Amadeus Mozard plus connu sous le nom de Mozart.

Mythe pour les uns, légende ou réalitée pour les autres, il n'empêche que jusqu'à preuve du contraire Mozart était bien dyslexique.

Né en 1756 à Salbourg et mort en 1791 à Vienne, son génie pour la musique et plus particulièrement le pianoforte son visible dés son plusson plus jeune âge ( 3 ans pour l'écoute de la musique, 5 ans pour l'instrument et 6 ans pour ses premières compositions). C'est son père qui va lui faire découvrir le monde de la musique, ce qui est normal vu que le père de Mozart également un très grand musicien.

Cet homme est considéré de manière générale comme un des compositeurs les plus importants de la musique classique européenne. Malgré une mort précoce (oui il avait tout juste 35 ans, ce qui est  loin d'être vieux), il a toutefois réussi dans ce court laps de temps à réaliser un ensemble d'œuvre d'une telle importance qu'elle embrasse pratiquement tous les genres musicaux de son époque. D'après ceux de son temps, il était au piano mais aussi au violon ce que Lagardère était à l'épée. En somme, une fine lame où plutôt pour reprendre le jargon musical,  un virtuose. Ce n'est donc pas surprenant d'apprendre qu'il a pour ainsi dire offert ses lettres de noblesse à la symphonie ainsi qu' au concerto sans oublier à la sonate qui deviennent ainsi après sa mort les basses élémentaires de la musique classique.

De nos jours beaucoup d'artiste continu encore à trouver l'inspiration grâce à lui et toutes personnes voulant étudier la musique (surtout classique mais pas uniquement) se doit d'avoir écouté du Mozart comme un étudiant de cinéma se doit d'avoir vu des films de la nouvelle vague.

Voilà bonne écoute a tous

PS (petit secret) : voilà de la bouche (ou plutôt de la main) même de Mozart ce qui a fait sa gloire :“Le vrai génie sans coeur est un non-sens. Car ni intelligence élevée, ni imagination, ni toutes deux ensemble ne font le génie. Amour ! Amour ! Amour ! Voilà l'âme du génie.” (extrait de la Lettre - 11 Avril 1787) .

PSYCHO-PASS est un animé réalisé par Naoyoshi Shiotani, est diffusée au Japon a partir de 2013. Il possède deux saisons. La première , en onze épisodes, est diffusée en 2014.

Une seconde saison est diffusée entre octobre et décembre 2014. Un film d'animation est sorti en janvier 2015. Depuis 2012 cet animé bénéficie d’une adaptation en manga dessinée par Hikaru Miyoshi. Des visuals novels nommés Chimi Chara Psycho-Pass sans ajouté dans les dvd de la première saison et sont adaptée en jeux vidéo sur Xbox intitulé Psycho-Pass: Mandatory Happiness.

Cet animé raconte l’histoire d’un futur hypothétique sans guerre et sans violence.

Au début du xxiie siècle, au Japon, il est possible de mesurer instantanément son facteur criminelle: la probabilité qu'elle commette des crimes grâce à un dispositif installé sur le corps de chaque citoyen appelé « Psycho-Pass ».

Quand le facteur criminelle est trop élevé chez certain individu, il sont considéré comme criminel, appréhendés ou si nécessaire, abattus. Pour s’acquitter de cette tache, le gouvernement créer la Division des Enquêtes Criminelles du Bureau de la Sécurité Publique composé de duo un peu spéciale :  criminels potentiels appelés Exécuteurs, supervisés par agent irréprochable appelés Inspecteurs. Pour appréhendé les criminelles potentielles, les Inspecteur utilise une seule arme « Dominateur », qui lit instantanément les psyco-pass et qui tire uniquement sur les criminels détecté. On donc suivre les péripéties de cette  brigade spéciale et leur quête de vérité. 

Psyco-pass c’est l’animé de science fiction qui mérite le détour. Directement inspiré des grand classique de la SF et des romans d’anticipation comme Minority Report ou 1984, il met en place un univers plausible ou l'excès de confiance en la technologie peut mener à des constatations terrifiantes. Il pose plusieurs questions comme celle de la potentialité criminelle, thème à la mode ces dernières années, mais aussi ne propose pas de réponse à ses questions. Cet animé est loin des la théorie bien pensante de ses inspirations et les révélations sont surprenante.

-Ayara

Aujourd'hui, je vais vous parler d'un jeu de plateau édité pour la première fois en 1995, il mélange une grande part de stratégie (en raison de la manière dont vous faites vos déplacements sur le plateau pour gagner) et de hasard (suivant votre résultat de lancer de dés à chacun de vos tours).

Non, ce n'est pas de Risk dont il est question, mais du jeu Les Colons de Catane créé par Klaus Teuber d'origine allemande. Son principe est de faire des colonies et de les développer pour être le meilleur colon d'où le nom. En effet, si on prend par exemple la carte “route la plus longue”, elle va à celui qui a construit la route la plus longue entre ses différentes colonies seulement si un autre joueur construit une route plus longue c'est à lui que la carte reviendra. Il faut aussi savoir que pour construire des colonies il faut un nombre de carte matière (bois, blés, etc) et que la répartition de ces cartes se fait en fonction du nombre des dés et de votre placement sur la carte qui n'est autre que le plateau de jeu.

Justement ce qui qu'il y a de bien avec ce jeu c'est que vous pouvez à chaque nouvelle partie changer la disposition du plateau (qui a l'apparence d'une île). Il est également possible d'ajouter des extensions au jeu de base. Avec elles, il devient possible  de former à la place de l'île principale plusieurs petites îles ou d'augmenter le nombre maximum (de 4 joueurs à 6 joueurs). C'est un jeu qui a tellement été apprécié qu'il est déjà traduit dans plus de quinze langues différentes dont le japonnais et  l'italien.

Voilà, bon jeu à tous

PS: voici le lien vers un site où il y a toutes les règles http://jeuxstrategie.free.fr/Siedler_complet.php

Aujourd'hui je vais vous parler d'un film qui a réussi à me faire couler une petite larme à moi, le cœur de pierre, c'est donc un de mes films préférés : Le Pianiste.

Sorti en 2002 et réalisé par le grand Roman Polanski ( Rosemary's Baby, Tess), le film nous entraîne dans une histoire vraie , celle de Władysław Szpilman.

 Władysław, dit Władek, est le pianiste officiel de la Radio polonaise cela fait de lui une figure connue du milieu culturel polonais. Lorsque les nazis s'emparent de la ville, ils suppriment progressivement les droits des Juifs, puis les parquent dans le ghetto créé pour les regrouper et accroître leur détresse. Władysław y survit avec sa famille et y travaille comme ouvrier. Tandis que sa famille est déportée, il arrive à s'échapper du ghetto et est caché par des résistants polonais qui lui apportent régulièrement de quoi survivre. La ville étant devenue une zone de combat, il doit quitter sa cachette et trouve quelque temps refuge dans un hôpital déserté, puis dans une maison en ruine, peu avant la libération de la ville par l'Armée rouge. Souffrant de faim et de soif, il se cache des Allemands dans un petit grenier, mais finit par être découvert par Wilm Hosenfeld, un officier allemand mélomane. Ce dernier, apprenant que Szpilman est pianiste, et convaincu de bientôt perdre la guerre puisque l'entrée des troupes soviétiques dans Varsovie semble inéluctable, va lui procurer chaque jour, secrètement, la nourriture nécessaire à sa survie.

Le réalisateur imprègne son film d'une empreinte atypique baignée dans une atmosphère familiale, lui qui a vécu le conflit de plein fouet durant sa jeunesse, emportant sa mère. Le Pianiste, c'est avant tout de la musique qui accompagne l'horreur absolu. Et de cette horreur, Polanski montre toute la perversité de l'occupant Allemand sans omettre la touche émouvante des déchirements des familles durant le Ghetto de Varsovie. .Polanski fait traverser le conflit par son personnage principale tout en restant dans la crédibilité. Exit les grandes scènes de combats entre militaires, le conflit évolue au fil des rues et se mue en un jeu du chat et de la souris.Le jeune pianiste Wladyslaw Szpilman, est incarné par Adrien Brody qui excelle dans ce rôle. C'est d'ailleurs le seul acteur à obtenir le césar du meilleur acteur pour un film tourné en anglais.

J'espère que vous aurez envie de le voir, préparez vous à sortir les mouchoirs !

-Mischief

Comme beaucoup le savent (normalement) sur M6 durant une certaine période était diffusé deux séries qui aujourd'hui non comptant d'être rediffusé sont devenus culte. La première c'est Caméra Café sortie en 2001 avec Bruno solo et Yvan Le Bolloch'h (créateur et acteur de ce programme) et la deuxième c'est Kaamellott sorti en  2005 avec Alexandre Astier ( acteur et réalisateur). Toutes deux se sont arrêtées, en 2003 pour la première et en 2009 pour la deuxième  mais leurs histoires a continué sur un autre support. En effet, ces deux séries sont également sorties sous forme de BD et justement c'est le sujet de ce texte.

La première à avoir été adapté c'est caméra café en 2003,  c'est à Van Linthout et Goerges que l'on doit le texte, à Didgé que l'on doit les dessins et à  Stibane la couleur. C'est la maison d'édition jungle qui publie les planches. Cette série a pour objectif de reprendre le même fonctionnement et type de décors que la série, mais en allant plus loin. C'est-à-dire que la plupart des casses des 6 albums (et du best of) ce déroule devant la machine à café. Seulement l'univers s'étire pour permettre aux fans de découvrir pour la première fois la voiture de sport de JC ou la mère de Sylvain. C'est l'occasion de pouvoir montrer la vie et le passé des personnages en dehors de leurs bureaux. Il y a également une bonne dose d'humour (parfois un peu moins drôle suivant certaines casses).

La deuxième série adaptée ce fait sur un autre forma, mais avec le même principe. Les huit tomes de Kaamelott, qui ont été écrit par Alexandre Astier  (encore lui) et dessiné par steven Dupré  sont sur le forma d'une histoire unique par tome. Toutes fois, ils développent eux aussi le fait que dans le dessin il est plus facile de montrer certaine chose comme un éboulement ou le lac du serpent géant de Perceval et Karadoc que dans le forma de la série télé. Vous l'aurez sûrement deviné, mais avec Astier comme auteur c'est l'occasion de retrouver l'humour bien accrocheur de l'univers du roi et de ces chevaliers de la table ronde créé par Astier.

Voilà  maintenant c'est à vous de voir si vous voulez donner sa chance à ces bandes dessinées ou pas et moi je vous dis à très vite et bonne lecture a tous.

Le cerf est souvent considéré comme un animal magique. Cette magie lui a été accordée pour ses bois qui se renouvellent tous les ans. Le cerf symbolise le plus souvent, l’arbre de vie, la renaissance, le maître des animaux, le roi de la forêt, la sagesse.

Le cerf  a souvent été un animale guident les héros. Et plus particulièrement quand ils sont blancs, ils sont les guides pour l’autre monde. Ils ont aussi une très grande longévité. Hésiode dit que la vie d’un homme fini a 96 ans, que celle de la corneille est 9 fois plus longue, et que celle du cerf est 4 fois plus longue que celle de la corneille. Donc un cerf vivré en moyen 3456 ans. Pour prouver cette hypothèse il est dit que Alexandre à mie un cercle d’argent ou d’or autour du coup a plusieurs cerfs. Ces cerfs ont été retrouvés en vie plus de 100 ans après.

D’après Brunetto Latini le cerf se débarrasse de la vieillesse ou des maladies en mangent un serpent, et par peut du venin il se dépêche de boire abondamment. Ça lui permettrait de se débarrasser de sa vieillesse, et qu’il change de poile et de bois.

Les bois du cerf ont de très forte propriété magique comme celle des licornes. De maniéré générale elles ont un très grand pouvoir de protection, que ce soit contre les éléments, contre les maladies, ou encore pour préserver le mentale ne notre entourage. Il y a aussi sa chaire qui a d’incroyable propriété curative, mais pour qu’elle soit toujours opérante il faut que le cerf en question meure en un seul coup. Et à une époque comme il été considéré comme le roi des forêts seul les rois des Hommes pouvez le chasser. Le cerf a aussi appris aux Hommes à se servir du dictame, une plante médicinale. En la mangent le cerf se régénère de toute ses blessures et rejette tous les corps étranger qui l’on blesser.

Le cerf est un animale qui à traverser les âges, les mythes, et la Terre, de sorte que dans la majorité des paye le cerf à une connotation magique ou mastique. Et qu’il se retrouve souvent comme symbole ou dans un mythe de notre époque. Mais sa première incarnation dans un mythe serrait auprès de la déesse Artémis. Ils se trouvent souvent à côté d’elle et tire aussi son char. Et sa première incarnation du cerf en dieux est dans le dieu Cernunnos, un dieu gaulois à tête de cerf. Aucun texte ne peut le confirmer, mais on pence que ce dieux représente le cycle de la nature, qu’il est la vie et la mort à la fois.

Bonjour à tous, si  vous aimez les contes en général et ceux des frères Grimm en particulier alors vous allez adorer Simsala Grimm.

En réalité, il s'agit d'une série télévisée d'animation d'origine allemande avec son titre plus qu'évocateur. En effet cette série a pour but de plonger le téléspectateur dans l'univers des contes des frères Grimm, mais aussi de tous les autres.  Seulement il arrive que certaines histoires pour se réaliser ont besoin d'aide, c'est ainsi qu'à chaque début d'épisode le livre des frères Grimm prend vie et entraîne avec lui pour une nouvelle aventure deux héros haut en couleurs.

Le premier Doc Cro est un petit lézard avec des rayure rouge et rose et un chapeau jaune. Il est aussi  scientifique, philosophe, virtuose…. en bref il est le penseur de l'équipe celui qui réfléchit (un peu trop peut être) avant d'agir. Le deuxième est plutôt une sorte d'aventurier qui ne tient pas en place. Il porte le nom de Yoyo et bien qu'il soit plus fonceur que son ami il n'en reste pas moins un formidable allier.

Au final ils représentent l'équilibre parfait entre la force et l'esprit,  ce qui n'est pas plus mal étant donné le nombre d'aventure auxquelles ils participent et prête main forte.

Ce dessin animé est créé par Claus Clausen, Stefan Beiten et André Sikojev et sa particularité c'est qu'il se découpe sur deux saisons, mais qui sont chacune séparée  d'une dizaine d'année. La première (de 1999 à 2000) se centre sur les histoires de frères Grimm comme le loup et sept chevreaux ou le chat botté ou encore blanche neige  alors que la deuxième saison (2010 à 2011) se concentre sur un ensemble de comte et légende vaste et varié comme les trois petits cochons, la belle et la bête et aladdin

Voilà maintenant à vous de voir si vous voulez voir ou revoir ce dessin animé.

Mesdames et Messieurs , salutations !

Ce soir je suis parti à la recherche d'un jeu sortant un peu du lot, malheureusement je n'avais que peu d'idées, j'ai donc fouillé les jeux au fond de la mémoire de ma Playstation , et j'ai le plaisir de vous faire une présentation d'un petit jeu vidéo sympathique, Rogue Legacy !

Ce jeu fait partie de l’univers des jeux vidéos indépendants, ces jeux qui sont crées par des amateurs ou des professionnels et qui ne passe pas par une maison d'édition, ce qui offre aux créateurs une liberté assez poussée mais malheureusement peut bloquer financièrement parlant sur le budget des jeux. Ceci étant les idées sont assez originales et peu onéreuses suivant leurs principes de créations et nous pond des pépites comme le célèbre “Minecraft”, le bizarroïde “The Binding of Isaac”, et bien d'autres .

Ici nous avons un jeu créé par Cellar Door Games, un studio de développement situé à Toronto, composé de deux frères, Kenny et Teddy Lee.

Celui-ci est un Rogue-Like, jeu dont le moteur principal du gameplay est la création aléatoire de donjon, en 2D . Ce qui n'est pas sans nous rappeler les jeux de SuperNintendo par son esthétique, et particulièrement les Castlevania .

Le reste de gameplay s'inspire particulièrement du système de Die And Retry de Demon's Souls et Dark Souls , système dont le but du jeu est de mourir et recommencer en apprenant de ses erreurs, et la difficulté est très présente dans ce genre de jeu en particulier ces derniers.

Mais ici nous nous trouvons dans un genre beaucoup moins punitif pour ne pas attirer uniquement les hardcores gamers .

C'est pourquoi le jeu adopte un système d'héritage.

En effet à chaque fois qu'un de vos personnages meurt, c'est sa descendance qui prendra la suite de l'aventure, descendance qui se verra doter de certaines facultés parfois avantageuses et qui plus est, grâce à l'argent gagner avant votre mort, vous pourrez mieux vous équiper avant de repartir à l'aventure.

Il ne faut pas oublier aussi que l'humour est le point fort du jeu, si la descendance à des "facultés" , parfois elle a aussi des “défauts”, comme de l'asthme , d'être daltonien ou encore dyslexique, ce qui influenceras légèrement votre partie d'une manière originale.

Certe il n'y a pas beaucoup à dire sur ce jeu, mais nous avons là un petit jeu indépendant et non un blockbuster vidéo-ludique, malgré tout celui-ci à une certaine saveur qui vous rappellera le plaisir des jeux rétro mais aussi des difficultés rudement traversés sur Oddworld ou Castlevania.

Si vous êtes trop jeune pour les avoir connus sachez que ce jeu n'est qu'un entrainement pour éveiller votre esprit de challenge. Sur ce bon courage preux chevaliers, enfants de dragons, ou encore sorciers à la chevelure argenté, bonne aventure !

The Avenger

Dans très peu de temps, dans notre galaxie …

Nous retrouverons enfin une saga mythique au cinéma , une saga qui se vit décliner en de nombreuses choses, dont notre sujet d'aujourd'hui, les séries Star Wars, en particulier la saga Rebels !

Star Wars Rebels n'est pas la première série animée de LucasFilms , en effet la firme légendaire à déjà donner naissance à 2 séries sur l'univers de Star Wars .

Toutes deux font suite à l'épisode 2 de la saga et traverse la guerre des clones .

La première était une sorte de pilote animé par Genndy Tartakovsky , animateur célèbre pour son travail sur les Super Nanas, le laboratoire de Dexter ou encore le cultissime Samurai Jack . Une série sobre, touchante et intriguante qui se diffusait de 2003 à 2005 dans l'attente de l'épisode 3 .Vint ensuite, de 2008 à 2013, une série d'animation en 3D qui reprend cette histoire à zéro tout en gardant les bases et en approfondissant chaque axes, la sortie du dernier opus ayant eu lieu à cette époque, il n'y avais plus de places pour les spoilers .

Le 11 mars 2013, la série est annulée au bout de cinq saisons. Toutefois, une partie de la sixième sort et un projet connu sous le nom de The Clone Wars Legacy adapte alors la suite sous d'autres formats .Et suite au rachat de LucasFilms par la boîte de Production Disney, une nouvelle série à vu le jour faisant suite à l'épisode 3 et "prequel" à l'épisode 4, l'histoire se déroulant 5 ans avant la trilogie originale, nommée Star Wars Rebels .

Celle-ci focalise notre attention sur les débuts et la création de l'alliance rebelle à travers un petit groupe de “contrebandiers” et fauteurs de troubles pour l'empire . Ce petit groupe, équipage du Ghost, est composé de Kanan, un ancien Jedi qui se cache de l'empire, Ezra, un orphelin ayant une affiliation avec la force, et apprenti de Kanan, Zeb, un Lasat dernier de son espèce, Sabine une Mandalorienne explosive et artiste, Hera, une Twi'lek et pilote d'exception; et le droïde Chopper .Nos personnages vont lutter au fur et à mesure contre l'empire et vont se retrouver impliquer dans la formation de la Rebellion . Mais aussi en plus, nous retrouvons l'univers des Jedi à travers la relation entre Kanan et Ezra .

Tous ces éléments sont présent surtout pour présenter l'univers de Star Wars et sa philosophie aux plus jeunes, car malgré que LucasFilm soit aux commandes la production Disney vise un public particulier  avec cette série .Ce qui n'empecheras pas aux plus fana d'entre nous de trouver du plaisir dans cette série si nous lui laissons le temps d'évoluer dans sa narration .

En effet nous retrouvons des personnages emblématiques de la saga, nous voyons un nouvel univers étendu se créer, mais aussi celle-ci présente des connexions avec l'ancienne série évoquer précédemment, tout le monde à le droit à sa part donc .

Le scénario est très correct envers les plus vieux, pour une série axer sur un public jeune, mais aussi l'animation, s'inspirant de Clone Wars elle se retrouve quand même à se démarquer et se mettre dans un univers aux traits beaucoup plus fin .Le vrai bémol viens des doublages français , car si vous n'avez pas de raisons de le regarder en français alors foncez sur la version originale ; car la première prouve que les doublages de ce genre de série ne c'est toujours pas améliorer .

Ormis cela, le plaisir est présent, alors allez vous détendre en replongeant un petit moment en enfance, sur ce petit résumer je vous souhaite un bon moment et que la force soit avec vous :)

The Avenger